"En Amérique latine, Diégo Rivera, c'est Dali plus Picasso""
De fait, il est omniprésent dans les foyers, même et surtout chez les plus modestes, avec son portrait d'ignacio Sanchez, ce petit Mexicain en salopette, ses femmes ou ses danseuses de Tehuantepec, ses bouquets luxuriants d'arums...
Collées contre un mur, punaisées contre un meuble, posées sur un guéridon, les reproductions des toiles du maître sont partout.
Le maître muraliste Diègo Rivéra, je l'ai rencontré en France, à Lyon, dans le quartier de Gerland au 21 de la rue Georges Gouy.
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